Parce que ma plus proche collaboratrice (qui est aussi ma moitié) prend une année de plus, j'ai envie avant tout de citer Léonard de Vinci : "il n'est aucune chose qui aille plus vite que les années" et j'ai envie d'y ajouter : "... mais qu'on s'estime heureux car nous n'avons pas besoin de multiplier par sept!".
En ce jour anniversaire, juste un petit texte en guise de clin d'oeil
Les riches aiment les radis et l'oseille.
Les optimistes ont la pêche et aussi la banane
Les plus pauvres s'attendent depuis longtemps à la fin des haricots en rêvant malgré tout de cent patates, alors comme des chiens ils grattent!
Me voilà, en cet instant, en compagnie d'un berger des Shetland, je trouve qu'il me va bien (dommage qu'il ne se nomme pas Léonard).
On a toujours le chien qu'on mérite. Mais, et c'est là l'étonnant, on finit toujours par ressembler à son chien.
J'ai été le maître d'un whippet, alors que j'étais sec comme un coup de trique et que je pouvais courir sans cesse , comme un lapin.
Ensuite, j'ai eu un labrador, c'est alors que je me suis mis à avaler et boire comme quinze, jusqu'à dépasser le quintal, lui aussi était gros mais comme il était grand, cela lui allait bien.
Quand, je suis devenu le maître d'un border-terrier, je me suis mis à réagir au quart de tour en montrant, souvent les dents. D'ailleurs, respecté je suis devenu quelqu'un de respectable, grâce à mon chien, sans doute.
Maintenant que je vis avec un ancien chien de rue, "Voltaire", il s'appelle, je commence à avoir peur de tout le monde, alors souvent je me tapis... d'Orient.
Moralité : quitte à cultiver son jardin, autant privilégier les radis et l'oseille.
Les commentaires récents